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80 % des Françaises peinent à atteindre l'orgasme


Le rapport qu'ont les Français avec l'orgasme reste compliqué. En effet, selon un sondage Ifop, les femmes mais aussi les hommes mentent à leur partenaire quant à leur plaisir.



« La simulation de l'orgasme est un sujet tabou dont on ne parle pas au sein du couple », introduit le site Online Seduction pour présenter sa nouvelle enquête sur le sujet, publiée ce mercredi 13 février et réalisée par l'Institut de sondages Ifop. Pour lever la gêne et le voile entourant les questions concernant la jouissance, 1 210 personnes âgées de plus de 18 ans ont répondu à des questions sur leurs rapports sexuels avec leur partenaire.

MENTIR POUR NE PAS BLESSER

Ainsi, pour ne pas vexer leur moitié et ne pas toucher son estime, deux femmes sur trois (59 %) avouent avoir déjà simulé un orgasme au cours de leur vie. C'est deux fois plus qu'il y a 20 ans, avec 32 % en 1998, précise le sondage. Chez les moins de 30 ans, cette proportion atteint même les 67 %. Mais ce comportement n'est pas uniquement féminin. La moitié des hommes interrogés, tous âges confondus, ont aussi révélé avoir déjà feint le plaisir utile.
À la fameuse question « t'as joui ? » après l'amour, les femmes de moins de 30 ans sont 48 % à avoir déjà menti. Elles ont ainsi deux fois plus nombreuses à dissimuler la vérité que leurs aînées de plus de 40 ans. C'est le cas aussi pour 19 % des hommes. 4 % des interrogées ont même indiqué qu'elles omettaient de répondre franchement à chaque fois qu'on leur posait la question. Le silence reste donc le maître mot.

LA DYSORGASMIE, UN PHÉNOMÈNE COURANT

Mais plus embêtant encore, 78 % des Françaises indiquent avoir déjà eu des difficultés à atteindre l'orgasme. Chez les moins de 30 ans, elles sont 87 % dans ce cas, contre 57 % des hommes de tous âges. C'est ce qu'on appelle la dysorgasmie. Ce trouble est effectivement encore tabou : 34 % des femmes cachent en souffrir à leurs ami(e)s.
Pourtant, il touche de nombreuses personnes. Il peut provenir d'une absence d'attention de la personne en face. Ainsi, 23 % des hommes dévoilent que leur partenaire actuel n'est pas le plus attentif à leur plaisir contre 18 % des femmes. Autre raison, les techniques de coïtles plus pratiquées ne sont pas toujours celles les plus à même de procurer du plaisir à la gent féminine. Enfin, la dimension psychologique a une place capitale dans l'atteinte du Nirvana.
Pour pallier le manque d'informations sur le sujet, 44 % des hommes et 26 % des femmes reconnaissent se renseigner sur Internet afin d'améliorer leurs performances sexuelles. Et si la Saint-Valentin était l'occasion de faire preuve de franchise ?
Source : top sante

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Index glycémique et régimes faibles en glucides en cas de diabète de type 2


Article rédigé par Catherine Conan, diététicienne
Depuis des années, afin de préserver les personnes atteintes de diabète de type 2 des complications vasculaires et des variations de glycémie, beaucoup de professionnels de santé adoptaient classiquement un régime hypocalorique parfois sévère (portant surtout sur la réduction des graisses et conduisant alors à une plus grande consommation de glucides) se traduisant par la non observance du régime donc à un échec. Pour obtenir des résultats et couvrir les besoins nutritionnels, il est préférable d’envisager des corrections ciblées plutôt que la mise en place d’un régime draconien, comme par exemple l’arrêt du grignotage, la réduction de boissons sucrées et la préconisation d’une activité physique. L’objectif est d’obtenir une réduction pondérale couplée à de bonnes habitudes alimentaires. L’alimentation doit être équilibrée quantitativement mais aussi qualitativement. Mais ces recommandations nutritionnelles sont-elles suffisantes pour obtenir une perte de poids conséquente ? Faut-il dépasser ces notions ?


Qu’est-ce qu’un régime pauvres en glucides ?
Aujourd’hui, devant les difficultés à obtenir une perte de poids significative chez les patients atteints de diabète de type 2, de nouvelles études mettent en avant la réussite de la mise en place des régimes pauvre en glucides au détriment des régimes pauvres en graisses. En quoi consistent-ils ? Sont-ils réellement efficaces ?
Ces régimes consistent à mettre en place une alimentation pauvre en glucides (25% de l’apport calorique total contre 50 à 55 % dans le cas d’une alimentation équilibrée ou dans le cas d’un régime pauvres en graisses), riche en protéines couplée à un programme d’activité physique. On obtient alors une amélioration de la glycémie et en particulier de la glycémie postprandiale (après les repas), des triglycérides sanguins, une diminution de la tension artérielle et la fonction diastolique du ventricule gauche se normalise1. Sans oublier que la prise de médicaments antidiabétiques accompagnant traditionnellement le régime est allégée sans incidence particulière sur la glycémie !

Cependant, ces régimes ont leurs limites puisque la perte de poids n’est pas plus importante que dans le cas d’un régime pauvre en graisses et des risques de carences nutritionnelles ne peuvent être ignorés. Par conséquent, des études complémentaires s’avèrent nécessaires. Mais quels sont ces régimes ?

Le régime à index glycémique bas

Afin de maîtriser au mieux la glycémie et de favoriser la perte de poids tout en douceur, le régime à index glycémique bas repose sur la consommation d’aliments glucidiques à faible index glycémique2. C’est le cas des pâtes cuites « al dente », des légumes secs… Facile à mettre en place, il permet une meilleure observance de la part des patients. Mais les études sur le sujet se montrent discordantes concernant les résultats sur la normalisation des constantes sanguines (glycémie, hémoglobine glyquée) chez le diabétique de type 2. En effet, qui peut prévoir la tolérance glycémique d’un patient ?
Notons également que le pouvoir d’un aliment à augmenter ou diminuer la glycémie ne dépend pas uniquement de la nature et de la quantité de glucides consommés. Plusieurs facteurs  sont à prendre en considération : la présence de lipides, de protéines, de fibres, du mode de cuisson… Et c’est là, la grande difficulté !

Les régimes controversés

Les régimes pauvres en glucides communément appelés « low carbs » font l’objet de nombreuses controverses. Ils mettent en avant une réduction de la consommation de glucides faisant par la même occasion la part belle aux lipides et protéines ! Pour ses adeptes, la perte de poids est assurée ! Pour d’autres, ces régimes préviendraient l’apparition du diabète de type 2.
Mais restons très vigilants quant à la mise en place de ce type de régime et surtout ne pas le suivre sans avis médical. Même si on obtient une perte de poids et une amélioration des constantes sanguines … c’est très séduisant mais il n’en reste pas moins que l’organisme est mis à rude épreuve et que ces régimes sont sources de contraintes nécessitant non pas un changement mais un bouleversement des habitudes alimentaires !

Citons les plus connus :

  • Le régime très hypocalorique frôlant les 600 Calories/jour et qui ne laisse que peu de place aux glucides ! En apparence, il est épatant puisque les résultats sur la perte de poids sont très rapides et encourageants mais il ne faut pas perdre de vue que ce régime est dangereux pour l’organisme s’il est suivi à long terme (atteinte rénale…), qu’il est très difficile à suivre de par sa monotonie et surtout… la reprise de poids est assurée dès l’élargissement des rations, doublée d’une prise additionnelle de poids !
En ce qui concerne les effets sur le maintien glycémique et l’hémoglobine glyquée à long terme, du recul et des études complémentaires sont nécessaires.
  • le régime Atkins, décrié pendant de nombreuses années, repose sur la restriction glucidique, l’augmentation de la ration protéique et … on oublie les calories. Et ça fonctionne…tout au moins au début mais c’est sans compter son panel de complications !
  • le régime paléolithique ou ancestral (3), tout aussi monotone que le précédent, est basé surtout sur une consommation d’aliments non manufacturés, riches en protéines, pauvres en glucides… sans compter les calories. On arrête de manger quand on est rassasié !

Avant d’avancer une réelle efficacité de tels régimes chez les patients atteints de diabète de type 2, il est nécessaire de se baser sur des études complémentaires. Pour l’heure, il est préférable d’adopter une alimentation équilibrée adaptée au patient, à ses goûts…. certainement plus sécuritaire sur le plan santé. C’est à l’heure actuelle le régime le moins contraignant avec des résultats à la hauteur des espérances comme un bon maintien de la glycémie et la réduction des complications cardiovasculaires !

SOURCE : passeport sante

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La pornographie peut-elle améliorer la sexualité ?


"Après 27 ans de mariage, mon mari et moi ne faisons presque plus l'amour car il a des problèmes d'érection ainsi qu'une baisse de libido. Il regarde de plus en plus souvent des sites pornographiques en pensant que ça va l'aider mais, pour le moment, ça ne fonctionne pas. Est-ce une bonne solution ?" se demande Jacqueline, 55 ans. Le Dr Catherine Solano, médecin sexologue et andrologue (hôpital Cochin, Paris), lui répond.

Avec l'âge, il est normal que la libido soit moins « pressante », que l'érection mette davantage de temps à venir, tout comme l'éjaculation. Néanmoins, chez un homme en bonne santé, tout cela fonctionne normalement, même si c'est d'une manière que l'on pourrait qualifier de « moins vive ».

LE PORNO, ENNEMI DE LA SEXUALITÉ

Le problème, c'est que lorsque la première panne d'érection survient, votre compagnon peut ressentir un tel stress qu'il panique et cherche alors des solutions... pas toujours adaptées. Quand un homme regarde régulièrement de la pornographie, plusieurs manifestations se produisent.
- Un phénomène de désensibilisation apparaît peu à peu.  À force de voir des images très excitantes, le cerveau devient moins excitable. Cela se manifeste par exemple vis-à-vis de la partenaire sexuelle, pour laquelle le désir s'amoindrit. Comme l'explique David Reynié, auteur d'un rapport sur la pornographie pour Fondapol (1) : « Le porno est susceptible de faire perdre tout intérêt pour le partenaire habituel ». Cela explique également la tendance à rechercher des images de plus en plus déviantes, voire choquantes, ou plus « hard » pour continuer à obtenir un même niveau d'excitation.
Une baisse importante de libido et une augmentation des dysfonctions érectiles  surviennent souvent suite au visionnage d'images X.
- Enfin, une étude a montré qu'une consommation régulière de pornographie provoquait une diminution de la satisfaction  avec la conjointe, une baisse de l'attachement sentimental ainsi qu'une dévaluation de l'apparence et de la performance de la partenaire (2).
Par conséquent, non, la pornographie n'est pas une bonne solutionpour améliorer la sexualité dans votre couple. Au contraire, elle est probablement en grande partie à l'origine des problèmes que vous rencontrez.

QUE FAIRE POUR RETROUVER LE DÉSIR (SANS PORNO) ?

Vous pouvez expliquer toutes les conséquences des images X à votre mari et lui demander d'arrêter complètement la pornographie pendant quelques semaines. Très souvent, des améliorations importantes en termes de désir et d'érection s'observent au bout de quatre à cinq semaines.
D'autre part, je vous conseille de l'inciter à voir un médecin, qui pourra lui prescrire un médicament pour améliorer ses érections (s'il ne présente pas de contre-indication). Cela permet souvent de reprendre confiance en ses capacités sexuelles et de nombreux hommes peuvent ensuite se passer de traitement. Et si votre mari a plus de 50 ans, il pourrait être indiqué de faire un dosage de sa testostérone, hormone impliquée dans le désir sexuel.
Encouragez-le également à faire du sport, car 30 minutes d'exercice physique suffisent pour stimuler la production de testostérone, donc l'énergie sexuelle et l'érection. Mais attention, plus de deux heures consécutives font plutôt baisser cette hormone !
Enfin, subsistent deux dernières questions : - votre mari déprime-t-il en ce moment ? un petit moral peut être la cause de difficultés sexuelles ; - prend-il des médicaments qui pourraient agir sur la libido ou sur l'érection ? Il faut alors aborder la question avec son médecin traitant.
(1) « Porno addiction, un nouvel enjeu de société », David Reynié, mars 2017.
(2) « Pornography's impact on sexual satisfaction », Dolf Zillmann et Jennings Bryant, Journal of Applied Social Psychology, vol. 18, n° 5, avril 1988, p. 438-453.
Source : top sante

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Troubles de l'érection : un problème d'hygiène dentaire ?


Selon une étude espagnole, les hommes souffrant de parodontite ont deux fois plus de risques de connaître des problèmes de dysfonction érectile.



On savait déjà que la parodontite, une maladie inflammatoire des gencives, augmentait le risque de maladie d'Alzheimer et de cancers, une nouvelle étude de l'Université de Grenade (Espagne) laisse entendre qu'elle augmentait les risques de dysfonction érectile. Selon cette étude, portant sur 180 hommes, les hommes souffrant de parodontite ont plus de deux fois plus de risques de connaître des difficultés pour avoir ou maintenir une érection

LES CYTOKINES INFLAMMATOIRES ATTAQUENT LES VAISSEAUX

Selon les chercheurs, les bactéries présentes dans la bouche en cas de parodontite libèrent des cytokines inflammatoires qui finissent par endommager les cellules des vaisseaux. C'est ce qui provoque les problèmes cardiaques lorsque les cellules épithéliales des vaisseaux du cœur sont touchées. Et c'est donc ce qui provoque les troubles de l'érection lorsque les cellules des vaisseaux du pénis sont endommagées.
source: top sante

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En relation amoureuse, nous avons bien un "type"


Il existe bel et bien une tendance à rechercher le même type de compagnon d'une relation à une autre. Une étude de l'Université de Toronto au Canada met en lumière cette continuité dans la personnalité des partenaires amoureux.

Votre dernière rupture amoureuse vous a brisé le cœur. Vous vous êtes juré de ne plus retomber sur le même type d'homme. En réalité ce ne serait pas si simple. Des chercheurs de l'Université de Toronto et de l'Université de Columbia pointent dans une étude la tendance à reproduire le même schéma dans le choix du partenaire : d'une relation à l'autre, nous serions attirés par une personnalité similaire. Ce processus est décrit dans la revue Proceedings of The National Academy of Science.
"Il est fréquent que lorsqu'une relation se termine, les gens attribuent cette rupture à la personnalité de leur ex-partenaire et décident de sortir avec un autre type de personne", observe à Science Dailyl'auteur principal, Yoobin Park, étudiant au doctorat au département de psychologie de la Faculté des arts et des sciences de l'Université de Columbia. Mais "nos recherches suggèrent qu'il existe une forte tendance à continuer à rencontrer une personnalité similaire."
Aidé de Geoff MacDonald, professeur au département de psychologie de l'Université de Toronto, Yoobin Park a comparé les personnalités de partenaires actuels et passés de 332 volontaires. Ceux-ci ont évalué leurs propres traits de caractère (gentillesse, sérieux, extraversion, ouverture à l'expérience, etc). Le panel a dû évaluer dans quelle mesure ils s'identifiaient à une série de déclarations telles que "je suis généralement modeste et réservé", "je m'intéresse à beaucoup de choses " et "je me fixe des objectifs et je les réalise".
LA CLÉ POUR DES RELATIONS AMOUREUSES ÉPANOUIES
L'analyse des réponses a montré que les partenaires actuels des individus étaient décrits de la même façon que les anciens partenaires, soulignant la continuité dans la personnalité des différents compagnons de route d'un individu. "Le degré de cohérence d'une relation à l'autre suggère que les gens peuvent effectivement avoir un" type ", conclut Geoff MacDonald.
Les chercheurs n'expliquent pas ce constat. Mais ils suggèrent que la conscience de cette tendance à choisir le même type de partenaire pourrait aider à construire des relations saines et à vivre heureux en couple. "Si la personnalité de votre nouveau partenaire ressemble à celle de votre ex, [transférer ce que vous avez appris avec celui-ci] pourrait être un moyen efficace de commencer une nouvelle relation sur de bonnes bases."

source:top sante
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5 fruits et légumes de novembre qui donnent de l'énergie !


Zoom sur notre sélection de fruits et légumes du mois de novembre bons pour la santé !

Avec seulement 70 kcals pour 2 fruits, la clémentine est un aliment phare de la saison ! Ses diverses propriétés font d’elle un fruit excellent pour la santé. Les flavonoïdes, les limonoïdes et les caroténoïdes qu’elle contient sont des composés dont le pouvoir antioxydant a été reconnu. La clémentine permet ainsi de se protéger de maladies comme certains cancers, des maladies cardiovasculaires ou des maladies dégénératives (ex : Parkinson). Les caroténoïdes sont également essentiels à la production de vitamine A, car le corps les transforme en cette vitamine selon ses besoins. La clémentine fournit aussi une source importante de vitamine C, connue pour son effet défatigant et déstressant, et qui permet de  stimuler nos défenses immunitaires. 

5 fruits et légumes de novembre qui donnent de l'énergie !

Une grenade, fruit au goût acidulé, équivaut à environ 128 kcals. Son jus contient une quantité importante d’antioxydants bénéfiques à la prévention de nombreuses maladies, et notamment, à celle du cancer de la prostate. Elle protège de l’athérosclérose (= dépôt de gras sur la paroi artérielle) et des maladies cardiovasculaires puisqu’elle augmente l’activité antioxydante du sang.
La grenade possède également des propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes et antivirales, idéales pour aider son organisme à lutter, surtout quand les températures commencent à baisser, contre les petits maux de l’hiver.

Le topinambour  est un légume racine également appelé truffe du Canada. Peu calorique avec seulement 72 kcals pour 100 g, il a des propriétés intéressantes pour la santé. Le topinambour contribue à la santé intestinale, notamment grâce à sa teneur en fructanes, des glucides qui contiennent de l’inuline, un mélange de polysaccharides. Ces fructanes permettent de soulager la constipation et ont l’avantage d’équilibrer la flore intestinale.
Enfin, l’inuline contenue dans le topinambour facilite l’absorption du calcium et du magnésium, des minéraux essentiels à la prévention de l’ostéoporose. Astuce : si vous ne savez pas comment le cuisiner, sachez qu’il peut se consommer cru, râpé sur une salade par exemple, ou cuit, au four, sauté dans un wok ou en potage.

Le poireau est un légume de la famille des liliacées, dont l’oignon et l’ail font également partie. Très peu calorique avec environ 60 kcals pour 100 g, le poireau est un allié santé qui s’incorporera parfaitement à vos potages. Il contient un antioxydant de la famille des flavonoïdes, le kaempférol, qui protège des dommages causés par les radicaux libres et confère au poireau des vertus anticancéreuses. Enfin le poireau a l’avantage d’être une source importante de vitamines et de nutriments. Il contient en l’occurrence des vitamines A, B6 et B9, C, ainsi que du cuivre et du fer.
Le kiwi est sans doute l’un des fruits les plus consommés en automne et en hiver.  Un kiwi (90 g) areprésente seulement 56 kcals, mais surtout 2,7 g de fibres, c'est-à-dire une quantité très importante. Les fibres, en plus de faciliter le transit intestinal, régulent les taux de sucre et de cholestérol dans le sang. Un kiwi apporte également 70 mg de vitamine C, sachant que les apports quotidiens recommandés se situent autour de 90 mg pour un homme et 75 mg pour une femme au Canada, et autour de 110 mg pour un adulte, en France. 

source: passeport sante

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Grossesse : 3 exercices de yoga pour faire de la place au bébé




A partir du 4e mois de grossesse, de nombreuses femmes enceintes souffrent de tiraillements au niveau du bassin. Julie ferrez, coach forme et bien-être, partage 3 exercices de yoga pour soulager ces douleurs ligamentaires et faire de la place au bébé.

Vous êtes enceinte et vous souffrez de tiraillements dans le bas-ventre : pas d'inquiétude ! Ce ne sont pas les contractions qui commencent mais ce que l'on appelle douleurs ligamentaires. Ces douleurs sont principalement ressenties dans le bas-ventre mais peuvent irradier dans le bas du dos, les fesses (comme une sciatique) ou les cuisses.

A QUOI C'EST DÛ ?

Au début de la grossesse, les douleurs sont dues aux tiraillements des ligaments de l'utérus qui augmente de volume. Lorsqu'elles sont ressenties en fin de grossesse, elles sont dues à une distension des articulations du bassin provoquée par la relaxine, une hormone que l'on sécrète durant la grossesse pour favoriser l'accouchement par voie basse.
S'il n'existe pas de traitement pour soulager les douleurs ligamentaires (paracétamol et ibuprofène étant à éviter durant la grossesse), il est possible de détendre le bas du dos et le bassin avec des exercices de yoga. Julie Ferrez, coach forme et bien être et auteure de Enceinte x active x épanouie publié aux éditions First, dévoile les exercices qu'elle a pratiqués durant sa grossesse.

L'ARAIGNÉE : POUR ASSOUPLIR LE BASSIN

• Debout, les pieds écartés de la largeur des épaules, accroupissez-vous lentement.
• Posez les mains au sol et gardez le dos droit.
• Etendez la jambe gauche sur le côté (le pied flexe) puis basculez le poids du corps vers le pied gauche pour étendre la jambe droite.
• Alternez doucement des aller-retour jambe droite-jambe gauche au rythme de votre respiration.
• Répétez au moins 6 fois.

LA SALUTATION À L'EAU : POUR DÉTENDRE LES LOMBAIRES

• Debout, les pieds écartés de la largeur des épaules, pointes de pieds tournées vers l'extérieur, fléchissez les genoux légèrement et placez vos mains en prière devant la poitrine.
• Tout en gardant les mains jointes, effectuez un grand huit horizontal (comme le geste de l'infini) tout en balançant le poids du corps de la jambe droite à la jambe gauche.
• Inspirez et expirez par le nez. Répétez cet exercice en vous balançant au moins 8 fois de chaque côté.

LA POSTURE DU PAPILLON : POUR OUVRIR LES HANCHES

• Assise sur votre tapis, les fesses éventuellement surélevées sur un coussin pour soulager le bas du dos, rapprochez vos pieds de votre pubis en ouvrant les genoux vers l'extérieur.
• Collez les deux plantes de pied ensemble et attrapez vos chevilles avec vos mains.
• Redressez votre colonne vertébrale en posant le regard au loin et ouvrez les genoux un maximum vers l'extérieur.
• Installez votre respiration et maintenez cette posture le temps de 10 respirations.

POUR ÉVITER LES DOULEURS PELVIENNES

Evitez de vous asseoir dans des fauteuils trop mous ou trop profonds. Installez-vous sur une chaise, le dos droit. Si vous supportez la position, asseyez-vous en tailleur en relâchant le buste vers l'avant et en veillant à décroiser les jambes et les recroiser dans l'autre sens toutes les 2 mn.
source: top sante


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Autotests : quelques précautions à suivre


L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) tient à rappeler les précautions à prendre lors de l'utilisation d'un autotest et insiste sur le fait qu'ils " ne remplacent pas les examens de biologie médicale ".


Il existe deux types d'autotest : ceux destinés à aider le patient à prendre en charge sa maladie, par exemple un lecteur de glycémie pour les diabétiques, et ceux utilisés sans prescription comme un test de grossesse. Pour le premier cas, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) explique que les " patients sont médicalement encadrés et suivent au préalable une formation à l'utilisation des autotests ". Dans le second cas, il est important de garder à l'esprit que les résultats fournis par ces autotests (pathologie, grossesse...) doivent être confirmés par des examens supplémentaires réalisés par un laboratoire et qui seront ensuite analysés par un médecin.

BIEN LIRE LA NOTICE DES AUTOTESTS

Le grand avantage des autotests est qu'ils permettent d'obtenir, de manière simple, un résultat rapidement. Ils fonctionnent le plus souvent sur le principe d'immunochromatographie. Cela consiste à déposer un échantillon de salive, sang ou urine sur une bandelette. La présence de marqueur biologique recherché sera alors révélée par une coloration de la bandelette. L'ANSM insiste sur le fait qu'il est important de bien lire les indications de la notice afin de comprendre précisément comment réaliser le test et en lire les résultats. Elle met également l'accent sur le fait que ces tests ont des limites et " peuvent entraîner des résultats faussement positifs ou faussement négatifs ", d'où l'importance d'examens supplémentaires.
Si des interrogations persistent sur le dispositif, l'ANSM indique que " les coordonnées du fabricant et du distributeur figurent sur la notice d'utilisation pour d'éventuelles questions complémentaires ". Elle termine en expliquant que seul des autotests marqués " CE ", achetés dans les pharmacies ou sur leurs sites internet, doivent être utilisés.
Source : top sante

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TEST DE GROSSESSE




Qu'est-ce qu'un test de grossesse ?

Un test de grossesse sert à vérifier si une femme est bel et bien enceinte. Il existe plusieurs types de tests de grossesse qui calculent la présence de l'hormone de grossesse, la béta-hCG. Les tests de grossesse les plus répandus sont les tests urinaires qui sont vendus sans ordonnance. Il suffit d'uriner sur une bandelette, d'attendre quelques minutes et le résultat s'affiche. Ils ne sont pas forcément fiables en début de grossesse. Les tests sanguins sont généralement prescrits et peuvent dater précisément la grossesse. Les tests salivaires sont assez fiables mais peu utilisés.

Quels sont les modes d'action d'un test de grossesse ?

Un test de grossesse réagit en présence de la béta-hCG, l'hormone qui est délivrée quand une femme est enceinte. La béta-hCG est en quantité suffisante dans les urines ou le sang pour être détectée à partir de la première semaine après la fécondation. A ce moment, sa concentration est très faible, un test urinaire peut donc donner un faux négatif. Le test urinaire contient des anticorps de détection colorés qui réagissent et permettent à la bande témoin d'afficher le résultat, généralement un signe "+" ou le mot "enceinte".

A partir de quand faire un test de grossesse ?

Un test de grossesse est réalisé au moindre soupçon de grossesse, avant de prendre rendez-vous chez le gynécologue qui va dater le début de grossesse et faire les prescriptions d'usage. Des signes de grossesse peuvent alerter, comme des crampes abdominales, une poitrine plus sensible ou des nausées, mais ce n'est pas toujours le cas. Plus la grossesse est avancée, plus le test est fiable. Certains tests sont très pointus, le test sanguin étant fiable à 100 %, il peut déterminer une grossesse au 7e jour après la fécondation. En cas de doute, il vaut mieux faire un nouveau test quelques jours plus tard.

Que faire en cas de test de grossesse positif ?

Que la grossesse soit désirée ou non, il faut prendre un rendez-vous avec un gynécologue si le test de grossesse est positif. Celui-ci va procéder à un examen clinique, dater le début de la grossesse et la date prévue de l'accouchement. Il pourra prescrire des vitamines prénatales et programmer les échographies. En cas de grossesse non désirée, le gynécologue peut conseiller au sujet de l'IVG ou de l'adoption
source: top sante


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Un automassage DIY pour affiner ses hanches


Des hanches trop larges sont parfois source de complexes. Le massage fait partie des réflexes pour déloger les capitons et remodeler les zones. Suivez cet automassage express proposé par Danièle Festy dans "Les meilleurs massages minceur et beauté aux huiles essentielles" (Leduc. S Editions).


Vous trouvez que vos hanches sont trop larges et aimeriez affiner cette partie du corps que vous jugez disgracieuse ? Pour affiner sa taille et tailler ses poignées d'amour (non réservées aux hommes), point de secret, la bonne combinaison repose sur le mariage d'exercices physiques et d'automassages. Pour le premier ingrédient, rien d'étonnant, bouger aide à sculpter son corps et à s'affiner (à condition de surveiller son alimentation et de manger équilibré).
Combiné au massage ou à des automassages, le sport est la meilleure solution pour vaincre la cellulite mais aussi pour perdre des hanches. Les mouvements chassent les capitons et stimulent la circulation du sang et de la lymphe.
Une astuce en plus pour booster l'efficacité : l'utilisation d'huiles essentielles (HE) lipolytiques (qui cassent les cellules graisseuses) et drainantes comme les huiles essentielles de cèdre de l'Atlas, de genévrier de Virginie. L'huile végétale de calophylle choisie dans ce soin pour diluer les HE est bonne pour la circulation du sang.
Danièle Festy, spécialiste des huiles essentielles, vous donne un automassage pour affiner ses hanches, à pratiquer manuellement ou à l'aide d'accessoires de massage. Ce soin est extrait du livre "Les meilleurs massages minceur et beauté aux huiles essentielles" (Leduc. S Editions).


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